Chevauchée dans les embruns de fumée,
souffle le souvenir de mes mille et une années.
La pluie mouille encore un peu plus violemment,
le point de fuite du voyageur errant.
Ne renverse pas le cours de l'espoir, j'ai amarré sur nos deux corps, un cœur pourpre en son écrin d'ivoire, et pourquoi pas, l'oubli de la mort.
Sublime. J'adore cette photo. Absoluement magique.
Rédigé par : Martin | 12 mai 2010 à 06:45